De mes cours de philo, il ne m'est resté qu'une phrase : "Le voleur ne gagne jamais autant que ce que perd le volé".
Tu vois de quoi je veux parler?
J'ai très souvent repensé à cette phrase. Elle m'a suivi, tranquillement, l'air de rien. Et aujourd'hui, alors qu'elle prend tout son sens, une autre (tout droit sortie de la bouche d'un grand sage aux dreads désordonnées) vient la submerger : "que le cul te gratte et que tes bras se raccourcissent pour que tu ne puisses jamais te soulager".
Oui, c'est tout ce qu'il me reste de philosophie ce soir, et c'est tout ce que je te souhaite à toi, le nase, sujet de l'histoire du jour.
Ce n'est pas très distingué, ni très élégant, mais finalement, c'est le moins que je puisse faire : me mettre à la hauteur du geste, par pure compassion.
Ce matin, 2 oiseaux ont été volés dans l'exposition.
"Le Mâlin Pêcheur"
et le "Crave Arctique à Bec Verseur " que vous n'aurez malheureusement pas l'occasion de voir en photo, fini, mais dont voici un aperçu :
Avant / Après |
Merci à tous d'ouvrir l’œil et de me contacter ici.
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